- Événement
- Monde
- Expresso
- France
- Expresso
Revenir à l'édition
Fétichisme
«Once Upon a Time… in Hollywood», conte à rebours
Il était une fois… Tarantino à Hollywood
Le happy end ou l’art de ne rien divulgâcher
Argentine : le peso dégringole, la rue s’affole
Le rassembleur Alberto Fernández veut «rallumer l’économie»
Hongkong : «Plus ils vont taper, plus on va se rebeller»
Incident nucléaire en Russie : un essai raté du missile «Skyfall» soupçonné
Placido Domingo : balance ton ténor
L’immigration légale dans le viseur de Trump
Pourquoi Deliveroo quitte l’Allemagne
Sur les pistes françaises du système Epstein
Jean-Luc Brunel, le rabatteur qui aimait «les drogues et le viol silencieux»
Affaire Epstein : l’«île de l’orgie» au peigne fin
Mélenchon était-il au Mexique durant la session parlementaire extraordinaire ?
Femmes de chambre en grève chez Ibis : «Ils nous prennent pour des esclaves»
Aigle Azur : le patron confirme le rachat d’une partie de ses créneaux par British Airways
Les candidats pour la présidence de LR
4 MOIS
La députée LREM de Paris Olivia Grégoire dans la peau de…
La décontamination a débuté à Notre-Dame
13 août 2019
Il était une fois… Tarantino à Hollywood
Au sein d’une industrie trustée par les majors, le cinéaste montre encore une fois avec «Once Upon a Time… in Hollywood» sa puissance et son indépendance. Et ce, malgré la chute de Weinstein.
3 min

Once Upon a Time… in Hollywood confirme la position singulière de Quentin Tarantino dans le cinéma américain, à la fois à la marge et en son centre. Bâti autour de ses stars mondiales Leonardo DiCaprio et Brad Pitt, le film a très peu à voir avec les préoccupations contemporaines de Hollywood (au hasard, super-héros et franchises) pour fantasmer sur l’âge d’or d’antan. Depuis ses débuts, le cinéas
Vous avez lu gratuitement une partie de l'article, pour lire la suite :